Quel est votre état d’esprit sur cette question ?
- « On remet une couche » par rapport à l’année dernière… de nouveau sans prévoir de financement.
- « Je vois dans cette impréparation une volonté politique d’affaiblir les professions sociales » : on assiste à un mouvement de déqualification. Alors a-t-on encore besoin des travailleurs sociaux classiques ou d’autres intervenants ?
Vous évaluez le coût de cette mesure à 25 millions
- C’est peu pour le budget de l’État : et les 28 000 étudiants concernés sont généralement embauchés en CDI à l’issue de ces formations…
On n’entend guère cette année les syndicats d’employeurs…
- Beaucoup de directions se retranchent derrière les contraintes budgétaires... mais expriment le besoin de professionnels diplômés… contradictoire.
- C’est dangereux pour l’avenir du secteur social.
L’ONES propose que les gratifications soient versées par un organisme indépendant…
- Une ligne budgétaire de la future direction de la cohésion sociale pourrait y être affectée et les établissements passeraient des conventions avec les directions régionales.
Jusqu’où êtes-vous prêts à aller si rien ne bouge ?
- Avec le GNI nous avons écrit aux ministères concernés et au Haut Commissaire à la jeunesse.
- Nous avons un rendez-vous au ministère du travail et ensuite nous aviserons.