« Au même titre que la santé ne se restreint pas à l’absence de maladie physique, la santé mentale ne se limite pas à l’absence de trouble psychique ou de maladie mentale »
Faire évoluer approches « encore trop sectorielles , strictement sanitaires, ou médico-sociales »
Distingue 3 dimensions :
- troubles mentaux ;
- détresse psychologique (pas forcément révélateur d’une pathologie)
- santé mentale positive (« bien-être mental » : désir de réalisation…).
Il faut responsabiliser l’ensemble des acteurs : employeurs, enseignants, soignants….
Bénéficierait notamment aux jeunes : « Doter chaque jeune d’un capital personnel »
Modes de garde « de qualité » et actions de soutien à la parentalité
« Développer les compétences cognitives, émotionnelles et sociales lors de la scolarité » : alors que le système éducatif française « insiste toujours sur les savoir académiques »
Certaines souffrances de l’adolescence seraient « évitables » :
- diminuer le poids de la formation initiale par rapport à la formation continue,
- instaurer un prêt à remboursement contingent au revenu pendant les études.
Des populations semblent plus vulnérables
- Et se caractérisent par une précarité relationnelle ;
- généraliser les stratégies pour gérer la « période charnière » de la fin des prises en charge ASE.
Document consultable sur le site du Conseil