Santé mentale : le Conseil d’analyse stratégique souligne le « rôle clé des acteurs non sanitaires »

09 765 – ASH 20/11/09 – p. 15
:) :)  ?
Très intéressant comme approche. Nous en conseillons la lecture… en attendant les effets. ??

- « Au même titre que la santé ne se restreint pas à l’absence de maladie physique, la santé mentale ne se limite pas à l’absence de trouble psychique ou de maladie mentale »

- Faire évoluer approches « encore trop sectorielles , strictement sanitaires, ou médico-sociales »

- Distingue 3 dimensions :

  1. troubles mentaux ;
  2. détresse psychologique (pas forcément révélateur d’une pathologie)
  3. santé mentale positive (« bien-être mental » : désir de réalisation…).

- Il faut responsabiliser l’ensemble des acteurs : employeurs, enseignants, soignants….

Bénéficierait notamment aux jeunes : « Doter chaque jeune d’un capital personnel »

- Modes de garde « de qualité » et actions de soutien à la parentalité

- « Développer les compétences cognitives, émotionnelles et sociales lors de la scolarité » : alors que le système éducatif française « insiste toujours sur les savoir académiques »

- Certaines souffrances de l’adolescence seraient « évitables » :

  • diminuer le poids de la formation initiale par rapport à la formation continue,
  • instaurer un prêt à remboursement contingent au revenu pendant les études.

- Des populations semblent plus vulnérables

  • Et se caractérisent par une précarité relationnelle ;
  • généraliser les stratégies pour gérer la « période charnière » de la fin des prises en charge ASE.

- Document consultable sur le site du Conseil