Malgré des progrès, délais excessifs de prise en charge, et manque de dépistage précoces….
Favoriser la prévention
Mieux former enseignants, médecins, et personnel médical scolaire à la détection des troubles psychiques et handicaps : il faut associer l’école et revaloriser le fonction de médecin EN
L’adolescence est un moment clé : attention au mal-être « vocable flou » qui peut dissimuler des troubles graves.
- Il faut que les jeunes puissent avoir un RDV rapide dans l’école
- et associer le dépistage des troubles psychiques à la communication sur les addictions.
Mieux définir et organiser l’offre de soins
En termes de réseaux : propose un protocole de prise en charge par l’AM de consultations de psychologues et psychomotriciens
- et de repenser l’articulation privé/public en laissant l’hôpital au cœur du dispositif.
Accompagner les familles à toutes les étapes et donner un vrai statut aux AVS (en distinguant le handicap psychique du physique).
« Dédramatiser » l’accès aux MDH peut-être en changeant une dénomination « qui peut faire peur ».