Le terme vient du Québec :
- présentation du phénomène
(1% des collégiens seraient déscolarisés), - entretien sur l’atelier scolaire avec M. Ajenaoui
(chef de service dans le 93).
Et « Pause Chocolat » dans l’Eure
Maison avec jardin où la Prévention spécialisée accueille les élèves durant leur temps d’exclusion : entre une demi-journée et 8 jours.
- Projet en partenariat avec l’EN et la Ligue de l’enseignement
(cadre Espoir banlieues)
On se pause, on discute et il y a des activités : rénovation, cuisine, jardinage…
- Le principe est d’intervenir le plus tôt possible et d’éviter aux jeunes de rester inactifs : « créer une relation à travers une activité, faire le lien avec la famille » dans la libre adhésion.
Après la reprise des cours Pause Chocolat reste ouvert :
- on passe dire ses angoisses, déjeuner, faire les devoirs (calme), goûter…
- et pendant les vacances des activités sont proposées :ateliers, chantiers, séjours…
Les enseignants donnent leurs observations sur l’élève dans un tableau élaboré par l’équipe : permet de confronter l’image que le jeune pense renvoyer avec celle-là ; « gros décalages ».
- Travail sur l’attitude pour être accepté à l’école.
Principal du collège : « les raisons du décrochage scolaire sont aussi inhérentes au fonctionnement de l’EN, (…) nous travaillons pour le plus grand nombre sans toujours réussir à nous adapter aux cas particuliers. Nous manquons de formation ».
L’éducateur intervient dès la 6e et déjeune régulièrement au collège.
Contact : 02 32 34 81 93