Le manque de données sur ce point est un obstacle à leur prise en charge
- Étude menée en 2008 par le CNML avec ces centres d’examens de santé et la CNAM.
- Ces jeunes ont plus souvent vécu des événements familiaux douloureux que les « actifs » (19% contre 8%) ;
- ils consomment moins d’alcool et pas de différence statistique en terme d’addictions.
- 31% ont subi des violences psychologiques et morales plus d’une fois (21% chez les actifs),
- 28% des violences physiques (contre 19%,)
- et 10% des violences sexuelles (contre 6%).
- 26% des jeunes en mission locale sont en souffrance psychique
(2 fois plus nombreux que les « actifs »)- dont 7% en état dépressif avéré.
- Ils sont quatre fois plus nombreux à avoir tenté de se suicider (22%).
Une enquête est en cours sur ces questions de violence, suicide, et dépression.