Visite dans un centre à Sarrebruck en Allemagne
220 passages par jour.
- Nom, âge et type de drogue consommé sont entrés dans l’ordinateur
- « il faut être majeur et avoir déjà consommé » ; on ne commence pas ici.
5 travailleurs sociaux, 4 infirmiers, 4 maîtresses de maison :
- « aider les toxicomanes pour qu’ils survivent (…) nous ne militons pas pour l’abstinence mais pour l’acceptation ».
Ce n’est pas une zone de non-droit mais la police a validé sa création
- contribue à diminuer troubles à l’ordre public (parfois contrôles à la sortie).
En 2009, 20 usagers amenés vers la thérapie ;
- en outre un groupe de parole au centre
- des consultations médicales gratuites.
Il y a eu des résistances du voisinage :
déchets et prostitution.
- Les maîtresses de maison ramassent les déchets
- et un « drive-in » a été ouvert à la périphérie de la ville, ce qui limite le racolage.
L’agressivité n’est pas tolérée, ni le deal.
Pour dérouler le fil de cette question, voir Centres d’injection sécurisés : deux prises de position divergentes en provenance d’élus