Sur ces établissements voir Le mode de fonctionnement des établissements de réinsertion scolaire est explicité
Bagarres à Craon (Mayenne) entre élèves « ERS » et autres collégiens + autres incidents :
- réunion avec les responsables des 11 ERS.
M. Chatel ne revient pas sur le fond du concept.
- Renforcement des partenariats :
- service civique (volontaires « mieux préparés »),
- équipes mobiles sécurité (« mieux et davantage » utilisées) et CG.
- Recours aux travaux d’intérêt général :
- « mieux compris » que sanctions classiques
(« se rendre utiles pour d’autres élèves » ou dans assocs)
- « mieux compris » que sanctions classiques
- « Programme sportif pédagogique spécifique » :
- opportun pour « réapprendre les règles de base »
Critiques toujours aussi vives
Voir Les ERS sont jugés encore flous
L’idée de regrouper ces élèves est dénoncée.
UNSA : « rien n’a été dit sur l’éducatif »
- Résume l’ensemble des prises de position.
Quant aux TIG : ambigu car ce dispositif ne relève pas du cadre pénal...
Joëlle Bordet (psychosocio) :
- internats scolaires pourquoi pas, mais pas vus « comme une mise à l’écart » ;
- dénonce une « philosophie hygiéniste dont on sait qu’elle ne fonctionne pas »
Tribune : M. Underwood, Dteur MECS
Il aurait fallu du temps pour que terrain, élèves, professeurs, parents puissent s’apprivoiser :
- mettre en place les conditions d’un dialogue, sinon on se retrouve avec la peur de l’autre
(réaction des parents qui ont retiré leurs enfants de l’école). Les juges des enfants ont-ils été impliqués ?
« Explosif » : regrouper 15 jeunes déjà « étiquetés » face à d’autres ressentis comme « bourgeois » ... comment on compte gérer ?
Dans notre MECS un centre de jour accueille 25 jeunes de 13/16 ans qui ont ce profil : pbs de discipline, etc. mais nous n’excluons pas.
Des initiatives existent et il faut aller dans le sens de co-constructions et non « d’ordonnances ».
- (p. 25-26)
- Contact : asmsdircor@wanadoo.fr