Doté d’un budget de 87,5 millions d’euros
Prévention communication, information, ; application loi ; soins, insertion sociale, réduction risques ; formation, observation, recherche.
« La priorité en matière de prévention doit être d’éviter entrées en consommation de drogues »
Campagnes d’infos, actions en milieu scolaire et étudiant (acteurs EN, santé, justice, police…)
« Relégitimer adultes dans leur rôle de principal acteur de prévention (…) les aider à se réapproprier une parole porteuse de la règle » : états généraux sur capacités éducatives, mobiliser dispositifs relais (Point infos, CAF, UNAF….)
Systématiser réponse judiciaire avec stages de sensibilisation (loi prévention délinquance)
Lutter contre alcoolisme des jeunes : interdiction totale de vente aux mineurs et des « open bar »…
Intensifier prise en charge sanitaire et sociale des populations vulnérables : partenariat CSAPA / dispositif hébergement social + 3 nouvelles communautés thérapeutiques
Consultations pour jeunes consommateurs : passer à 120 000 (soit multiplier par 3)
Actions prévention pour personnes détenues
Nouvelles modalités pour usagers de cocaïne
Meilleure prévention pour les femmes enceintes
Réduction des risques : notamment hépatite C
Document disponible sur le site de la MILDT
Le plan est assorti de peu de financements
FFA : fera travailler ensemble des ministères qui ne le font pas d’habitude, reconnaît intérêt intervention précoce et sur populations vulnérables…mais comment tenir cette « gageure » avec ces moyens ?
Anitea (ex ANIT) & F3A seront « vigilantes »
Auraient voulu plus que de l’info : « ce ne sont pas tant les drogues qui se banalisent que notre société qui banalise l’expérience addictive » ; appellent à une « éducation préventive »