Les associations, acteurs d’utilité publique ou opérateurs de services publics ?

ASH - 17/10/08 – pp. 29-30 - 08 535
:)
C’est un réservoir de mots-clefs. Au moins à parcourir. Pose intelligemment les enjeux en présence. Nous aurions aimé peut-être davantage d’exemples.
Par le Directeur de l’APF
Nouvelle gouvernance : passer d’une culture de moyens à une culture de résultats, être plus performants, mais aussi passer d’une logique de structure à une logique de parcours de la personne accompagnée (résulte entre autres de l’affirmation de droits individuels – lois 2002, 2005…).
L’Etat veut regrouper le sanitaire et le social (ARS) : intéressant mais il faut reconnaître les spécificités des 2 approches (reconnaissance de l’expertise du médico-social).
Les usagers doivent participer à la gouvernance des ARS.
Enjeux économiques des CPOM, GCSMS… : « risque de passer d’une standardisation des coûts à une standardisation des réponses ».
Poursuivre l’amélioration qualitative passe par le projet associatif (définit stratégie). Positionnement entre le privé (concurrence) et l’action publique (fonctions régaliennes).