Les jeunes résidant en ZUS ont un profil sociodémographique différent de celui des autres jeunes urbains.
- Moins bien formés ;
- à niveau de formation identique plus de difficultés à accéder à l’emploi ;
- à terme leur situation reste moins favorable.
Pourtant une forte proportion de jeunes qui ont fait leurs études en ZUS en partent (19 000 parmi les diplômés de 98)
- 18% d’entre eux ont connu la précarité des emplois et les limitations salariales contre 27% pour ceux qui sont restés en ZUS.
- En 2005, 77% déclarent que leur situation leur convient (proportion identique chez les autres jeunes urbains)
Avoir grandi en ZUS ne les a pas « condamnés »
Certains jeunes n’ont pas grandi en ZUS mais y trouvent un lieu permettant d’être autonomes (logement)
Bref n° 261 consultable sur le site du CEREQ