C’est une étude de l’UNAF , réalisée à partir d’entretiens
Notez bien La loi suspendant les allocations familiales en cas d’absentéisme définitivement votée.
Peut « de manière un peu perverse » faire réfléchir des jeunes en les soumettant à une sorte de chantage affectif mais ce n’est pas la solution.
« La réalité est loin des a priori » :
- pour beaucoup d’absentéistes, les mauvais résultats répétés sont devenus insupportables : il faudrait évaluer au cas par cas et réorienter.
Les parents veulent mettre fin à cette situation et reprochent parfois aux établissements des les avertir trop tard (lycées notamment).
- Démunis.
La réactivité apparaît primordiale :
- les élèves comparent l’absentéisme à une drogue : on n’arrive plus à s’arrêter, et demandent parfois davantage de sévérité, pour les aider….
Ce problème « doit être résolu au sein même du lycée.
- Et c’est l’enfant qui doit être responsabilité ».