Nos éléments sur la santé en octobre

:)
Une sorte de pot-pourri avec beaucoup de concret et le projet de loi que nous suivons de très loin.

ASH - 03/10/08 – 08 499

  • 1° étude française sur les liens entre alcool et violence
    « Alcool facteur de risque important » mais ni systématique ni suffisant.
    Des facteurs individuels sont liés à la propension à boire et aux inclinations violentes.
    L’alcool contribue à atténuer la perception de responsabilité.
    Il faut délégitimer l’idée selon laquelle l’alcool justifierait ou excuserait conduites transgressives.
    Etude consultable sur le site du ministère de la santé

ASH - 31/10/08 – 08 571

  • Haute Autorité de Santé et dépistage du VIH
    1° volet de recommandations : reconnaît utilité des tests dépistage rapide en urgence (accident professionnel..) et admet leur intérêt pour faciliter l’accès au dépistage des populations marginalisées ou sans droit ouvert.
    Envisage expérimentations en ce sens (condition : étant le consentement éclairé des personnes).
    2009 : recommandations porterons sur l’intérêt de proposer dépistage « de routine » à la population générale, en dehors de tout comportement à risque.
    Document consultable sur le site de la Haute Autorité de Santé

ASH – 03-17/10/08 – 08 540

  • Le régime des Centres de soins, accompagnement et prévention en addictologie
    Ils se substituent aux centres spécialisés de soins et aux centres de cure ambulatoire en alcoologie : prise en charge pluridisciplinaire.
    Un point sur missions et modalités dans un dossier des ASH
    Issus de la loi 2006-1640, art.92, IV, JO 22/12/06 & du décret 2007-877, du 14/05/08, J.O. 15/05/07

ASH - 17/10/08 – 08 541

  • Numéro Santé Info Droits en 2007 : 0 810 004 333
    4 000 appels traités : droits des malades, accès et prise en charge des soins.

08 564 : ASH & Le Monde – 24-31/10/08

Accueil mitigé des assocs qui se préparent à défendre la spécificité du secteur médico-social
C/ commission sélection consultative d’appel à projet au sein des ARS : « les pouvoirs publics passeront commande aux opérateurs ».
Conseil surveillance ARS  : pas de représentants des organismes gestionnaires d’établissements.
Crainte que les enveloppes du médico-social soient « noyées » dans le curatif.